Intéressée depuis toujours par la dimension du soin et de la relation d'aide, j'ai commencé un cursus en Psychopathologie Clinique à Toulouse en 1998.
C'est lors de la réalisation de mon mémoire de maîtrise sur l'organisation psychodynamique des victimes d'inceste que j'ai pu constater, à travers l'histoire des personnes que j'ai rencontrées, les conséquences somatiques des traumatismes sexuels qu'elles avaient vécus et à quel point ces traumatismes pouvaient s'inscrire dans le corps et s'y manifester.
Ce constat m'a interpelée et bien qu'ayant abordé la question du psychosomatique durant mes études, j'ai décidé de me réorienter afin de trouver un outil, une thérapie qui intègrerait pleinement cette dimension corporelle dans la prise en charge et l'accompagnement thérapeutique.
C'est pourquoi j'ai suivi la formation de Sophrologie Caycédienne et Relaxologie à l' Académie de Psychothérapie et Sophrologie de Paris afin de tenter de créer, de trouver ce pont entre le psychique et le corps.
Et c'est dans le même temps que j'ai découvert l'étiomédecine sur un plan personnel. Je ne connaissais pas cette technique et j'ai pris rdv pour la première fois en 2006 sur les conseils d'une connaissance suite à un évènement difficile que je venais de traverser.
Lors de cette première séance, j'ai pu ressentir à quel point mes souffrances étaient inscrites dans mon corps et les effets que pouvait avoir leur libération tant sur un plan physique que psychique ou affectif. Quelques jours après, je me suis sentie libérée, apaisée avec le sentiment d'avoir (enfin) réussi à dépasser une résistance sur laquelle je me suis longuement heurtée en psychanalyse.
C'est à ce moment là que j'ai eu l'intuition d'avoir trouvé ce que je recherchais.
En 2007, j'ai donc décidé de suivre la formation de Max Bernardeau en étiomédecine.
En 2009, j'ai ouvert mon premier cabinet sur Paris puis sur Toulouse en 2012 et j'assiste Max Bernardeau dans ses formations avec David Jegou et Agnès Bouttemy.
C'est lors de la réalisation de mon mémoire de maîtrise sur l'organisation psychodynamique des victimes d'inceste que j'ai pu constater, à travers l'histoire des personnes que j'ai rencontrées, les conséquences somatiques des traumatismes sexuels qu'elles avaient vécus et à quel point ces traumatismes pouvaient s'inscrire dans le corps et s'y manifester.
Ce constat m'a interpelée et bien qu'ayant abordé la question du psychosomatique durant mes études, j'ai décidé de me réorienter afin de trouver un outil, une thérapie qui intègrerait pleinement cette dimension corporelle dans la prise en charge et l'accompagnement thérapeutique.
C'est pourquoi j'ai suivi la formation de Sophrologie Caycédienne et Relaxologie à l' Académie de Psychothérapie et Sophrologie de Paris afin de tenter de créer, de trouver ce pont entre le psychique et le corps.
Et c'est dans le même temps que j'ai découvert l'étiomédecine sur un plan personnel. Je ne connaissais pas cette technique et j'ai pris rdv pour la première fois en 2006 sur les conseils d'une connaissance suite à un évènement difficile que je venais de traverser.
Lors de cette première séance, j'ai pu ressentir à quel point mes souffrances étaient inscrites dans mon corps et les effets que pouvait avoir leur libération tant sur un plan physique que psychique ou affectif. Quelques jours après, je me suis sentie libérée, apaisée avec le sentiment d'avoir (enfin) réussi à dépasser une résistance sur laquelle je me suis longuement heurtée en psychanalyse.
C'est à ce moment là que j'ai eu l'intuition d'avoir trouvé ce que je recherchais.
En 2007, j'ai donc décidé de suivre la formation de Max Bernardeau en étiomédecine.
En 2009, j'ai ouvert mon premier cabinet sur Paris puis sur Toulouse en 2012 et j'assiste Max Bernardeau dans ses formations avec David Jegou et Agnès Bouttemy.